Une discution dans l'auberge.

C’était une soir habituel au Trou Béant. L’auberge était pratiquement pleine de monde. Ont pouvait voir des bardes de la maison de Phiarlan, des hommes testant leurs virilité entre eux et bien-sûr les nains à leurs table habituelle. À une table dans le coin de la salle, Noir observait autour de lui en attendant Elrick.

Après un bref instant, il vit le demi-elfe descendre de sa chambre. Noir lui fit signe de sa présence en levant le bras. En voyant Elrick s’approcher, Noir pu voir que son humeur n’était pas comme d’habitude. Le rôdeur pris place à la table et fit une brève commande à la serveuse.

“Tu me fais... peur... quelques fois Noir.” dit Elrick en soupirant.

“Je fais peur à pratiquement tout le monde.” répondu Noir après un temps de réflexion.

“Ce n’est pas ce que je veux dire. Choppe, l’aubergiste m’a parlé de ce que tu as fais.”

“Pff...tu veux que je m’excuse peut-être?” répondu le sorcier.

“Non....mais je me demande parfois si le chemin que tu prend est celui qui te conviens.”

“Je prendrai le chemin qui me mènera à ma destination. Aucun autre.” Répondit Noir avec un soupçons de colère dans sa voix discrète.

“... Je te rappel que c’est moi qui te guide.”

Noir baissa la tête et ses yeux devinrent rouge lumineux.

“Je suis capable de me débrouiller seule si ça devient trop difficile pour toi.” dit-il.

Elrick le regarda directement dans les yeux. Il savait que dans cet état, son ami pouvait être dangereux même pour lui.

“Je me souviens que c’est toi qui a demandé de l’aide à moi et les autres il y a un temps. Je suis peut-être le seule qui t’es suivi, mais tu ne réussira pas seul. Tu me l’a dit toi-même.”

Noir se mit la main dans le visage et pris une grande respiration avant de répondre.

“Tu...tu as raison....je suis désolé. J’ai....j’ai été fais pour inspirer la peur. Je crois que...quelque chose de malicieux en moi fait surface. Je crois par contre qu’obtenir les réponse que nous avons besoin de gens mis à mes trousse n’est pas si...cruel que cela.”

“Que veux tu dire?” répondu Elrick

“Je ne....ressens pas de.....comment tu avais nommé cela....du remords quand je me débarrasse d’un ennemi après l’avoir torturé. Je me demande si c’est parque mon père m’a fait ainsi ou si c’est quelque chose qui m’est encore inconnu.”

“C’est peut-être parce que ce sont tes ennemis? Tu ne serais probablement pas capable de le faire à un innocent. Du moins je l’espère.”

“Ma force, ma puissance provient de la peur que j’inspire aux autres.”

“Si c’est ce que ton père t’a appris, c’est faux. Ta force provient de ton coeur, pas de celui des autres.”

“Que veux tu dire?”

Elrick pris un léger temps de réflexion.

“Quand tu es allé voir Jeanne, tu m’as dit que tu as vu de la peur sur leurs visages non?”

Noir acquiesça d’un signe de la tête.

“Cette peur ne t’as pas rendu plus fort, ni plus puissant. Elle t’as détruit. La peur dont tu parles est une arme puissante contre tes ennemis, mais elle peut se retourner contre toi ... et tes alliés.”

Ces dernières paroles résonnait dans la tête de Noir comme le clocher d’un temple. Il savait qu’Elrick avait raison.

“Depuis que nous nous connaissons tu m’as enseigné bien plus de chose que mon père l’est fais en un demi siècle. Je me rend compte que je ne serais pas allé loin sans toi.... Merci mon ami.... mon seul ami.” dit discrètement le sorcier.

“Nous allons chercher encore, mais ensemble.”

“D’accord.” répondu Noir en leva sa coupe de vin.

Elrick cogna son verre dessus en ajoutant “Ensemble!”.