Les yeux dans le feu de camp la guerrière se ressera dans sa cape, selon Elrick, ils n'étaient plus loin...
L'endroit était calme, et paisible...
Avania s'abandonna au sommeil.
Elle avait été surprise de revoir si tôt Berhouz.
Ce type était généralement le nez fourrer dans des livres a faire Dieux savent quoi!
Son ancien compagnon de route était venu lui parler d'une mission qu'il s'était fait confié par un des ''nobles'' de Charogne.
Avania les connaissais bien eux, ces type qui crois que tout s'achète avec de l'or... peu intéressée a retourné dans la région elle s'était apprêtée a refuser lorsque Berhouz lui glissa a l'oreille des mots qui sonnèrent comme de la magie pour elle.: Ruines, passé inconnu, danger...
La bête dans elle remua et s'excita a l'idée de pouvoir relâchée toute cette sauvagerie accumulée.
D'un sourire au combien sardonique, elle accepta de faire partie de la troupe.
Ils partirent le matin suivant.
Balta était assise dans une charrette conduite par Elrick, excitée comme une punaise elle parlais sans arrêts entre couper de fixe dans le vide l'air béa.
Balta l'intriguais beaucoup.
Noir comme a son habitude s'était muré dans un silence mutin et ne parla a personne.
Il semblais porter attention sur la route.
Elle le comprenais un peu, la moindre erreur d’inattention pouvais couter une vie...
Comme elle le savais trop bien.
Berhouz marchais sifflotant un air exotique.
La guerrière avait été surprise de voir qu'il semblais savoir les angles et les façon de protéger un char en mouvement, elle s'était toujours imaginer le Tuvien comme un homme de laboratoire fessant exploser des trucs, en riant comme un dément.
Et voila qu'il la surprenais encore!
Ça promettais.
Requin et Clodomir n'étaient pas la.
Avania n'avait pas posé de questions, ils avaient surement quitté la ville ou avaient changé de vie.
Quoi qu'il en sois ils étaient absent.
La charrette était renversé... du rouge.
Une douleurs attroce.
Des cris martiaux fusais de toute part.
Des paroles inconnues provoquais des effet spectaculaires.
Des flèches et des projectiles fusais dans l'air.
Les ennemis tombèrent.
Le goût du sang.
La bête était heureuse.
...La pluie avait tombé toute la nuit réfugiée sous la charette avec Elrick, ils avaient attendu que la pluie cesse.
Il fait noir.
Je ne vois rien.
la chute d'un objet énorme.
Un brasier.
Un énorme brasier.
Des crépitements .... Avania rouvrir les yeux revenant doucement a la réalité.
Tous ses compagnons était autour du feu, l'air absent ou endormis.
Elle n'aurais su dire si ils l'étaient.
Souriant elle ne pu s'empêcher d'être heureuse, elle était faite pour ce genre de vie.