Recherche d'un vieil ami

Avania c'était levée a l'aube pour ne pas déranger personne, après des couinement de bonne journée de la part de poilu et Luciole, qui bien sûr attendais de pied ferme leurs assiette du soir, la guerrière sortit a l'extérieur elle avait la journée avant son chiffre du soir.

Depuis son arrivée a charogne elle n'était pas sortie de l'auberge, ou très peu...
Quelques commissions ici et la avec Rachel pour acheter des denrée de nourriture et autre menus objet pour l'auberge.

L'air était frais, et le soleil n'était pas encore levé.
Le froid pesant sur ses cicatrices la jeune femme ajusta le capuchon de sa cape sur son chapeau et se serra dedans.

Dans le brouillard du matin elle aurais donner une drôle d'impression au rares passants sa petite silhouette dominée par le massif morceau de métal noir ajusté dans son dos, mais personne ne croisa sa route, elle avait bien choisis son heure.

Arrivée au cartier de la souillure elle se dirigea vers l'endroit où se trouvais la planque de Garrik.

Aller voir Garrik était sa seconde option, car il avait disparu 3 ans plus tôt mais elle ne perdais rien a aller voir.


Amateur.

Elle l'avait vu près de 5 minutes auparavant.
Un simple petite tire bourse sans grande envergure, il était la caché dans l'ombre d'une poubelle qui débordais.
Rien qui ne puisse égaler la finesse des voleurs qu'elle avait pu voir. Ceux qui vous apparaissais dans le visage lorsqu’il était trop tard.

Ce type était ce qu'il y avait de plus ridicule.

Elle fit semblant de ne pas l'avoir vu et attendis calmement qu'il effectue son œuvre.

Une pression lui toucha le coté de la hanche
-Pas mal... je l'avais mal juger... songea t-elle.

Elle agrippa la main et le bras du voleur, utilisant le poids de Carchar sur son dos elle lui fit faire un 360 degré par dessus elle, le pauvre bougre atterrit lourdement  sur le dos en gémissant.

D'un poigne impitoyable elle tenais toujours le voleur par le bras.

--Lâche moi! lâche moi! j'ai compris! tu m'fait mal!

-Une femme?!

Sans lâcher sa prise Avania se pencha et abaissa le capuchon de son ''agresseur'' un visage sale mais joli et fin apparu, elle semblais très jeune.

--Syou plait! monsieur j'ai compris! je ne recommencerais pas!

La guerrière sourit et abaissa son propre capuchon, la voleuse en fût pour ses frais.
La mine déconfite elle semblais muette.

La tenant toujours par le bras Avania la remis debout.

-Je te laisse partir a deux condition

L'espoir et la gratitude firent briller les yeux de la jeune fille.

  -UN: Connais tu un homme qui s’appelle Garrik et ou le trouver?
  -DEUX: comment t’appelle tu? dis t-elle plus doucement.